La formation des impressions

INTRODUCTION A LA PSYCHOLOGIE SOCIALE EXPERIMENTALE L’émergence de la disciplineQuelques définitions Niveaux d’explication en psychologie sociale 

LA METHODOLOGIE EXPERIMENTALE Hypothèses théoriques et opérationnelles Variables indépendantes et dépendantes L’analyse des résultats 

A. LA FORMATION D’IMPRESSION 

1. Le modèle de la configuration de Asch (1946 

1.1. Une première impression globale et cohérente 

1.2. Effets d’ordre : effets de récence et de primauté 

1.3. Statut des traits : traits centraux et traits périphériques 

1.4. Conclusion sur le modèle de Asch 

1.5. La formation d’impression étudiée en situation réelle : Kelley (1950) et Widmeyer et Loy (1988 

2. Le modèle algébrique de Anderson (1965, 1974, 1981 

2.1. Modèles sans pondération : addition et moyenne 

2.2. Modèle de la moyenne pondérée 

2.3. Réinterprétation des phénomènes de primauté et de centralité 

2.4. Conclusion 

3. Précisions concernant le traitement de l’information dirigé par les données et le traitement dirigé par les concepts 

4. Des « théories » aux « faits » : Le modèle du continuum de Fiske et Neuberg (1990)

4.1. Présentation du modèle 

4.2. Quelques faits expérimentaux 

5. Les théories implicites de personnalité (TIP) 

5.1. Quelques mots sur la notion de trait de personnalité 

5.2. L’organisation cognitive des traits de personnalité : TIP 

5.3. Trois approches de TIP 

5.3.1. Analyse corrélationnelle (Wishner, 1960) 

5.3.2. Analyse dimensionnelle (Rosenberg, Nelson et Vivekhanathan,1968) 

5.3.3. Analyse typologique (Anderson et Sedikides, 1991 

5.4. Quelques biais dans la formation d’impression 

5.4.1. Effet de halo (Thorndike, 1920) 

5.4.2. Erreur logique (Guilford, 1936) 

5.4.3. L’effet d’indulgence de Sears (1936) 

5.5. Conclusion sur les TIP 

5.5.1. La validité prédictive des TIP et leur utilité

5.5.2. La validité des TIP : le phénomène de corrélation illusoire 

5.5.3. Les TIP : une structure évaluative de connaissance ?