Le paradoxe thérapeutique
Comparaison efficience thérapie soutenante versus "insolente", paradoxale. note obtenue : 19/20.?
A partir des travaux de Palo Alto sur les processus du jeu sans fin, des recherches de l'école de Milan et des
métamathématiques, j'ai cherché à montrer que de l'étonnement, nait le changement Le soutien thérapeutique n'étant pas toujours nécessaire, puisque pour sortir du "jeu sans fin", il faut se positionner à un niveau d'abstraction supérieur : "méta", auquel l'étonnement mène plus facilement que le soutien.
Comparaison statistique de l'évolution de 6 familles et de 2 couples en thérapie, au travers de scores d'adaptabilité, de cohésion, d'alliance thérapeutique.
Puis une partie sur l'explication des processus sous jacents grâce à l'apport de la neurophysiologie cérébrale ; à la théorie du chaos (effet "papillon") ; à la théorie de la réactance de Brehm ; à la logique de la compexité d'E Morin ; et à la théorie du "champ des possibles" d'Elkaïm..?
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